Virgile disait qu’ils s’en allaient, obscurs, sous la nuit solitaire, parmi les ombres…
Certainement inconscients de ce qu’ils laissaient derrière eux. Désintéressés, obsédés par ce besoin d’avancer, coûte que coûte.
Le besoin d’échapper à cette noirceur naissante dans leur corps et dans leur cœur. Ne pas perdre la foi, garder espoir.
Tout en s’enfonçant dans les ténèbres.
Ils s’en vont, obscurs, sous la nuit solitaire, parmi les ombres, mais le jour se lève. Nouveau.